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Pied-noir, mon ami
En cette année du cinquantenaire de l'abandon de l'Algérie, même si les blessures ont été cautérisées, les cicatrices sont encore douloureuses et se rouvrent parfois quand des esprits malveillants et ignares se complaisent à retourner le couteau dans la plaie de façon ignoble et mensongère. On nous assène des fausses vérités, pour des raisons de basse politique. Le texte suivant, empreint de nostalgie, exprime un certain ressentiment très justifié devant ce procès à charge.
Tags : esprits, rouvrent, douloureuses, malveillants, ignares
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Commentaires
Bonjour, j’adore vraiment ce que vous faites je me demande comment j'ai pu rater votre blog
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Vous dites mon Algérie entre guillemets, c'est très clair ,ce n'est pas l'Algérie tout court, celle de tous ses enfants; mais comme vous voulez vous-même la concevoir. Avec tout le respect que je vous dois, permettez-moi de la voir autrement. Amicalement!