•  Cinquante ans après l'abandon de l'Algérie, je l'ai déjà dit, il y a des choses qu'on ne peut encore oublier, surtout quand les anciens tueurs d'enfants et d'adultes innocents se voient dérouler le tapis rouge sur le sol français. Comment ne pas être révulsé en lisant le récit qui suit de l'assassinat de la famille Ortéga, gardienne du stade de la Marsa à Mers-el-Kébir, le 1er Mars 1962 ?..... Même si on peut reconnaître beaucoup de fautes commises par les Français durant les 130 années de colonisation, rien, non rien au monde ne peut justifier une telle sauvagerie, une telle barbarie primale véhiculée par une culture mortifère. Cet épisode qui soulève le coeur n'est qu'un exemple parmi les centaines d'autres qui se sont succédés pendant cette funeste période de 1954 à 1962. Non, nous n'oublierons jamais et nous devrons toujours lutter pour éviter la gangrène de notre pays.....

    Afin que nul n'oublie

    Afin que nul n'oublie

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